Le syndrome du choc toxique : Késako ?

Posted lundi 22 juin 2015 by Unknown


Alors que la coupe menstruelle commence à prendre de plus en plus de place au cœur du marché économique, la dangerosité de certaines protections périodiques n’en finit pas d’être démontrée. Alors que les serviettes hygiéniques sont bourrées de substances toxiques à l’instar du clore servant à les blanchir, de la dioxine hautement cancérigène, les tampons, eux, pourraient être la cause d’amputations, voire, conduire à la mort. Explications…
Alors que certaines bactéries sont naturellement présentes dans notre vagin, chez certaines femmes qui utiliseraient des tampons régulièrement, le staphylocoque doré se développerait à vitesse grand V, dans le vagin et le col de l’utérus, pour provoquer une septicémie carabinée. Rare, mais non moins grave et inquiétant, le syndrome du choc toxique ne doit pas être pris à la légère.
Quelques précautions afin de minimiser les risques : favoriser les tampons avec applicateur, bien se laver les mains avant de les mettre, et surtout, pensez à les changer très régulièrement afin de minimiser le développement des bactéries.
Aujourd’hui, plusieurs solutions sont proposées aux femmes soucieuses de diminuer leur impact sur l’environnement mais également de faire davantage attention à leur santé. De la coupe menstruelle en silicone médicale permettant de récupérer le flux, invisible, et ne provoquant pas d’allergie, aux serviettes lavables en fibre de coton et chanvre, en passant par la gestion naturelle du flux, en faisant confiance à son corps, les femmes ont à présent le choix de ne plus avoir à subir les désagréments liés à dame nature.
Et vous qu’utilisez vous ?

Se laisser pousser les poils : la nouvelle tendance des féministes

Posted lundi 15 juin 2015 by Unknown


Lorsque l’on parle de vie au naturel, on pense davantage à l’adoption d’une alimentation plus saine et à un mode de vie plus respectueux de l’environnement qu’à des effets de mode à l’instar de la tendance no poo ou encore de celle d’arrêter de s’épiler. Et pourtant…
Prônant la beauté au naturel, de plus en plus de femmes se refusent à succomber aux sirènes des diktats de la féminité. Sourcils à la Frida Kahlo, ou encore aisselles dignes de celles de leur compagnon en passant par des mollets à la king kong, de nombreuses jeunes filles affichent fièrement leur pilosité excessive sur les réseaux sociaux.
Fatiguées d’avoir toujours eu à faire disparaitre leurs poils pour ressembler aux autres et ne pas avoir à supporter les quolibets et les nombreux a priori concernant le poil jugé dégoutant chez les femmes, elles ont pris la décision de laisser leur pilosité s’exprimer librement, et de ne pas sans cacher.
Cette tendance no épilation répond à un besoin vital d’être soi et de se faire accepter par l’autre tel que l’on est. Retour aux sources ou à l’essentiel, cette  nouvelle tendance est aussi une manière très affirmée de se démarquer, certaines des aspirantes aux poils en bataille poussant même le vice jusqu’à se teindre les aisselles, histoire de plaisanter ou encore d’être raccord avec leur couleur de cheveux.
En cet été 2015, à l’instar des Allemandes et Hollandaises qui ont impulsé la tendance depuis des années, les poils sont à la mode et s’affichent avec plaisir et arrogance.
Critère de beauté ? Provocation ? A chacune ses convictions, ceci dit, si l’on s’en tient à des données purement médicales, les poils sont là pour nous protéger des agressions extérieures, une information capitale à l’époque du maillot intégral. Alors prête pour le grand saut ?

Focus sur le génocide culturel Amérindien

Posted lundi 8 juin 2015 by Unknown


Sans conteste, l’histoire des Amérindiens est étroitement liée à celle du canada. Culture fortement ancrée dans la tradition chamanique et empreinte d’animisme, celles des inuits autochtones feront l’objet d’une tentative d’assimilation sans précédent. En effet, ca ne sont pas moins de 150 000 enfants qui seront envoyé dans des pensionnats spécialisés afin de les christianiser et de les éduquer selon les préceptes des colons.
Une assimilation culturelle faite dans la violence, les enfants ayant été arrachés à leurs familles sans ménagement. Cheveux coupés, vêtements brulés, interdictions de parler dans sa langue maternelle, froid et faim omniprésents, éloignement des parents, sévices sexuels et punitions corporels, voila de quelle manière le gouvernement Canadien entendait élever ces enfants Amérindiens au rang de citoyens.
Encore largement gangrénée par les préjugés liés à leur origines ethniques, les Amérindiens se sont vus enlevés leurs enfants jusqu’en 1960, le dernier pensionnat pour autochtone n’ayant fermé ses portes qu’en 1996.Une bien triste page d’histoire pas si ancienne  que cela !
De la stérilisation forcée, aux expériences médicales contraintes, en passant par des actes variés de torture, ce sont également des charniers d’enfants constitués suite à des meurtres qui auraient été retrouvés aux alentours proches des pensionnats.  Un peuple bafoué, des enfants déracinés et victimes de maltraitance au nom de l’assimilation, le génocide culturel Amérindien a laissé des traces sur plusieurs générations. Ces enfants élevés sans parents et dans la violence ont été les bourreaux inconscients de leurs propres enfants. Un engrenage que ces populations tentent aujourd’hui de rompre avec beaucoup de difficultés.
Faire disparaitre la culture Amérindienne dans son ensemble, une mission presque réussie avec brio par des Canadiens et des religieux sans scrupules, qui aujourd’hui restent tapis dans l’ombre au lieu de venir témoigner devant la commission de réconciliation. Un peuple décimé au nom du racisme.

Pourquoi arrêter de manger du sucre ?

Posted mercredi 3 juin 2015 by Unknown


Me sentant plutôt concernée par le fait d’essayer tant bien que mal de bien manger, j’ai pour habitude de m’intéresser à tous les aliments susceptibles de faire du bien à mon corps. Donnant la part belle aux fruits et aux légumes dans mon alimentation, je préfère le type de produits disponibles en épicerie bio du type lait d’amandes, de soya ou encore privilégie les féculents à base de farine complète. Après avoir parcouru pas mal d’articles relatifs aux multiples dangers incriminés au sucre, notamment en matière de maladies cardio vasculaires, j’en suis arrivé à la conclusion que tenter l’aventure d’un mois sans sucre serait une jolie manière d’en juger les effets.
Mais attention, bien que des plus concluantes, cette initiative est loin d’avoir été facile. Ayant été confrontée à plusieurs crises d’acétone dans les premiers jours car je manquais de glucose, je me suis rapidement rendue compte des effets dévastateurs du sucre sur notre organisme. Nausées, maux de tête, palpitations et j’en passe, mon corps était en manque, comme on peut l’être d’une drogue. Plutôt surprenant. Véritable poison, le sucre blanc est partout, arrêtons de manger des produits raffinés et repassons un peu derrière les fourneaux, on fera du bien à notre santé comme à notre porte monnaie.
Fatigue chronique, dépression, système immunitaire en berne, diminution du potentiel intellectuel ou encore problèmes hormonaux et circulatoires, diabète ou encore obésité, la liste des pathologies directement liée à la consommation de sucra raffiné fait peur.
En somme, pour rester en bonne santé, le sucre doit devenir votre pire ennemi. Il n’appartient qu’à vous de faire les bons choix en matière d’alimentation, ne l’oubliez pas !